Les naufragés d’Ythaq est une série en 9 volumes très bien réalisé, les dessins sont simples et clairs, l’histoire est captivante jusqu’à la fin et plonge le lecteur dans un univers étrange et merveilleux.
Histoire
Granite, officier sur un vaisseau spatial de croisière, a été mise à pied et se retrouve serveuse dans un des bars du vaisseau, à supporter les jérémiades de Callista jolie fille cherchant un riche époux (et vieux). La machine à glaçon tombe en rade et Narvarth, technicien de son état arrive pour réparer. C’est à ce moment que le vaisseau s’écrase sur une planète que ne devait pas se trouver là.
Critique
Des personnages que tout oppose devront s’entraider pour survivre sur cette planète médiévale ou tout semble hostile, surtout les habitants. C’est un scénario classique mais dont la fiabilité n’est plus à prouver.
Les méandres de l’intrigue sont très nombreux. Chaque chose à une raison d’être, et savoir pourquoi un flambeur des casinos saptiaux se retrouve dans un village de fermier sur Ythaq… Jusqu’au dernier tome, l’intrigue continue d’évoluer et on attend vraiment dans les dernières pages le final, l’explication du foutoir monstre provoqué par… non, je vous laisse la surprise.
L’humour est omniprésent, à la fois dans un comique de situation (houlà le souvenir des cours de français du collège) et dans les personnages en eux mêmes.
- On en était où déjà ?
- Heu, vengeance je crois
- Ha oui c’est ça. VENGEANCE !
L’avantage, c’est que la série est courte et ne traine pas en longueur.
Conclusion
J’ai adoré, et je la relirais de temps à autre.